La psychose est habituellement considérée comme une situation où il est contreindiqué de recourir à l’hypnose. Nous savons maintenant que cela n’est pas justifié, même si des précautions doivent être prises. Un cas peu connu d’intervention de Milton H. Erickson dans ce domaine, présenté dans la récente traduction du livre du Rubin Baltino et de Thomas South, Les Méthodes éricksoniennes, montre des modalités possibles d’un tel travail. Vladimir Zelinka en effectue le commentaire.