Littérature nº 170 (2/2013)
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Cet article propose une lecture « transversale » ou diagonale de Caillois « à travers » Jean Paulhan. Prenant comme point de départ un texte de Paulhan sur une pierre, « La Pierre philosophale », il se prolonge par une analyse des deux écrivains à la lumière des pages consacrées par Caillois aux pierres et à sa théorie du « fantastique naturel » dans Cases d’un échiquier, pour aboutir à ce qu’on peut appeler une lecture « lithogrammatologique » de Caillois.
This article proposes a “transversal” or diagonal reading of Caillois through, or “across”, Jean Paulhan. Taking as my point of departure a text by Paulhan about a stone, “The Philosopher’s Stone”, I go on to analyse the two writers in light of the pages Caillois devotes to stones, and to his theory of the “natural fantastic” in Cases d’un échiquier, to conclude with what I call a “lithogrammatological” reading of Caillois.