
Langue française n° 162 (2/2009)
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Prise de ses comportements d'A. Culioli, Denis Paillard décrit un cadre pour l'analyse dans lequel l'énonciation, en qualité de l'arrangement de formes (formulaires) linguistiques, 'organise' ('met en scène') les relations entre des agents (l'orateur/destinataire), un contenu et le monde. Ceux des relations extrêmement diverses doivent être calculés. Les agents sont définis comme ' les positions (postes) déclaratives et on considère n'importe quel état de choses pertinent(approprié) seulement de l'angle de que l'énonciation en dit, c'est-à-dire par une représentation partielle partisane, fondée (clouée au sol) dans la perception de l'orateur (du locuteur). Dans la partie finale du papier (journal), l'auteur examine comment trois types d'aide de marqueurs de discours construisent la valeur référentielle d'une énonciation.
Taking his bearings from A. Culioli, Denis Paillard outlines a framework for analysis within which the utterance, qua arrangement of linguistic forms, ‘stages’ the relations between agents (speaker/addressee), a content, and the world. These extremely varied relations must be calculated. The agents are defined as ‘enunciative positions’, and any relevant state of affairs is considered only from the angle of what the utterance says about it, i.e. through a biased partial representation, grounded in the speaker’s perception. In the final part of the paper, the author examines how three types of discourse markers help build the referential value of an utterance.

