
Littérature n° 158 (2/2010)
Pour acheter ce numéro, contactez-nous
Recevez les numéros de l'année en cours et accédez à l'intégralité des articles en ligne.
Sylvie est clairement une idylle, dont l’inspiration et les sources marquent le texte lui-même ; mais c’est aussi une idylle annoncée par d’autres oeuvres dans l’« unidivers » de Nerval, et suivie d’autres développements, même si cette oeuvre demeure sa réalisation la plus parfaite de l’ambition de « peindre l’existence humaine embellie et adoucie par l’accord de l’innocence et de la simplicité avec la plénitude de l’intelligence et de la raison ».
That Sylvie is an idyll seems quite clear, an idyll whose diverse inspirations and sources can be traced within the text itself; but an idyll with premonitory signs in other parts of Nerval’s “unidiverse”, as well as subsequent developments, if it stays its own perfect realization in the sense of the ambition to “paint human existence embellished and softened by the convergence of innocence and simplicity with full intelligence and rationality”.

